Printemps rime avec désir…rêve d’être deux…de rencontre celui qui fera battre mon cœur un peu plus vie…de tomber en amour…mais voilà tâche des plus ardus !! Tous les livres, les films, divers blogs, histoires nous racontent invariablement la même chose…c’est difficile de trouver l’âme sœur et plus on avance en âge et plus cela ressemble à un parcours du combattant ! Mais ou sont passés ses années ou il suffisait de faire un simple sourire et une étincelle d’histoire débutait…loin je présume !

L’autre jour une de mes collègues de travail, célibataire depuis un bon bout de temps, me disait que ça y ait elle avait trouvé son homme et pour cela elle a investit un montant d’argent dans une agence matrimoniale et au bout de la 2^ième rencontre ce fut le bon…et là je m’interroge va-t-il falloir que je paye pour trouver un homme avec qui une longue histoire serait possible ? Est-ce romantique? Combien cela peut bien coûter ? Elle n’a pas voulu me donner de tarif, juste que oui c’était dispendieux…pour moi cela manque tellement de romantisme, je ne voudrais pas avoir cette sensation d’avoir payé pour obtenir mon amoureux…et encore là …cette amour programmé, calculé avec les gouts et intérêts de chacun est-il garantie ?

Les sites de rencontres gratuits ou peu de frais ? J’ai donné, cela fait deux ans que j’y suis, que je vais d’une rencontre à une autre, plus ou moins longue et qu’à chaque fois j’y crois…et à part des déceptions, des types a problèmes enfouis sous une belle apparence trompeuse, des sentiments a sens unique et bien je n’ai rien de plus…donc depuis presque 4 mois j’ai tout arrêté.

Je voudrais vivre une rencontre naturelle ou le non verbal réveillera ses papillons endormis au fond de mon estomac...ses battements de cœur qui accélèrent dès que je croiserai son regard et surtout…please…un type normal !!

Le printemps est à nos portes…les températures sont plus douces et il pleut plus souvent ! Il reste cependant encore de la neige et on ne voit pas encore de touche de vert dans le paysage, mais je garde bon espoir que cette merveilleuse couleur apparaisse plus vite que prévu !

Samedi je n’ai pu résister à l’envie de faire les boutiques et découvrir les nouvelles tendances de cet été…et mon porte-monnaie me dit un grand merci d’avoir tant dépensé ! Que voulez-vous…il y avait tant de belles choses qui nous change de l’hiver, des matières légères, des couleurs vives, des petites robes merveilleuses…je n’ai pu résister! Et cela fait un bien fou au moral de se sentir sublime dans cette petite robe bleu qui me va si bien…

Aujourd’hui lundi est plutôt gris …mais avec ma petite robe bleu, j’ai l’impression de l’ensoleillé…je n’ai pu m’en empêcher, j’ai mis un collant noir très pâle, des hauts talons noirs et ma petite robe bleu et je me sens différente, comme neuve…

Merci petite robe Bleu !

http://valeriemuller.canalblog.com/

Québec aujourd’hui super froid ce soir…moins 17 degrés…et ils disent que c’est le printemps !!

Bref aujourd'hui bien emmitouflée !! Joues roses....Oui superbe soleil…disons le !! Mais froid….

    Mes racines au Québec sont jeunes et je ne connaissais que quelques chansons entendues à la radio des Colocs et j’aimais bien…mais là j’ai découvert une partie de cette histoire tragique, d’un homme émotionnellement perturbé, artiste musicien intense…et vraiment je trouve que c’est un excellent film, dans lequel j’ai embarqué et traversé avec toutes sortes d’émotion…j’admire particulière le jeu d’acteur de Sébastien Ricard qui est époustouflante et la trame sonore est génial également. Bref allez-y…un très bon film québécois !

Merci tout spécial à Jack qui est venu me rejoindre pour regarder le film avec moi (Jack : merci pour la belle soirée aussi….)  et m’en apprendre d’avantage sur cet homme Dédé, sur son groupe Les Colocs…

Réalisateur

Jean-Philippe Duval

Acteurs

Sébastien Ricard, Joseph Mesiano, Dimitri Storoge, Louis Saïa, Bénédicte Décary, David Quertigniez, Mélissa Désormeaux-Poulin, Mathieu Handfield, Claudia Ferri

Synopsis

En 1997, André «Dédé» Fortin se retire en Estrie avec les Colocs, le groupe rock dont il est le leader, afin d'y enregistrer «Dehors Novembre», leur troisième album. Confronté à des musiciens impatients, en pleine rupture amoureuse, Dédé oscille entre moments de création et périodes d'angoisse. Le natif du Saguenay revisite alors son passé: son arrivée à Montréal en 1984, ses études en cinéma avec son ami Éric Henry, sa rencontre avec l'harmoniciste français Pat Esposito, cofondateur des Colocs, les spectacles festifs du groupe, l'amertume de la défaite du référendum de 1995, etc. Malgré le vif succès remporté par «Dehors Novembre», Dédé sombre dans la dépression. Le 8 mai 2000, il s'enlève la vie dans son appartement de Montréal.

  Bouleversée par cette nouvelle…ce fut mon chanteur français préféré…Alain Bashung…il m’a plus dès mon adolescence avec Gaby…Vertige de l’Amour….j'ai flirté dans les boums sur ces titres...fan de ses textes remplis de poésie et d’hommage à la langue française…Osez Joséphine…magnifique et que dire de ses deux albums que j’écoute en boucle dans mon lecteur MP3…Fantaisie militaire et Bleu Pétrole…des chefs-d’œuvre musicaux…

Un nœud sur mon cœur…tu vas me manquer…me reste ta musique…cette larme rien que pour toi…je t'aime...Bye Bashung…

Acceuillez un grand Homme là-haut....

Marilyn Monroe ne portait qu’une chose quand elle allait se coucher…son parfum Chanel n°5…et moi je ne porte que Coco Mademoiselle de Chanel…j’arrive pas à quitter Chanel, même si l’été je fais une petite infidélité avec J’Adore de Dior car plus doux…mais le restant de l’année je ne suis jamais sans Coco Mademoiselle…un envoûtement ce parfum et tout le monde le remarque et surtout il me sied à merveille d’après les commentaires que je reçois…d’ailleurs mon flacon est presque à sec…oufff !!!

Important cette relation avec un parfum, c’est très intime, quotidien, provocateur, séducteur et surtout personnel.

Même si je suis fidèle, j’aime aller dans les grands magasins , traîner dans les rayonnages , tester des parfums sur mon poignet, histoire de voir si je ne rate pas quelque chose et pour l’instant il n’y a rien a faire…je suis fidèle !!

Ici au Québec j’ai un super ami français que j’adore , Bertrand, et que j’aime profondément, il le sait. L’automne dernier, j’ai réussi a le convaincre de suivre un cours d’initiation à la peinture acrylique avec moi, lui le gars qui se croyait sans talent artistique particulier. Hé oh surprise…il est vraiment doué pour la peinture, si je vous assure…bref il s’est pris au jeu et même si certains exercices furent plus périlleux et moins créatifs que d’autres, il a tenu toutes les séances et en redemande ! J’ai également une de mes meilleures amies, Julie, ma première amie au Québec, donc dire que cela fait un bout de vie que l’on se connaît, nous avons étudié la photo dans la même école, somme amies inséparables depuis tout ce temps … et elle aussi fait de la peinture de son côté…   

Bertrand, Julie et moi avons comme projet de nous inscrire au niveau 2 du cour de peinture en septembre prochain , mais en attendant nous voulions nous entraîner, explorer, progresser et travailler les techniques acquises.

Depuis le début d’année, nous organisons une fois par mois, un dimanche après-midi, un atelier de peinture. C'est un plaisir et une vraie détente et le fait de le faire entre amis nous motive et nous permets de partager notre savoir....qui sait nous finirons peut-être aux Musée des Beaux-Arts du Québec comme :

Le Groupe des Sept (The Group of Seven ) a été créé par de jeunes artistes canadiens qui se rassemblent dès 1913 dans un immeuble de trois étages de Toronto composé d'ateliers d'artistes: le Studio Building . Ils se sont rencontrés entre 1911 et 1913, le groupe est baptisé en mars 1920 et sera officiellement reconnu le sept mai suivant lors de leur première exposition au Musée des beaux-arts de l'Ontario.

On a le droit de rêver.....

Pour vous montrer nos progrès, j’ai fait un petit album The Group of Three ou vous pourrez admirer nos oeuvres d’art…soyez tolérant, nous débutons !!

  C’est cyclique…toutes les 5/6 semaines, une crise de panique me gagne.

Comme si soudainement le fait d’être seule équivalait a une panique en apnée ou je ne peux plus remonter la tête hors de l’eau, ou je sens que je vais couler là au fond de ce trou noir, seule…c’est terrible…je me soigne en positivant, mais ce positivisme va-t-il me lâcher un jour et vais-je couler pour de bon ? Je m’y accroche telle ma bouée de secours, en espérant qu’elle ne me quittera jamais !

C’est sûrement la même chose pour bons nombres de célibataires qui sont dans la même tranche d’âge que moi. Le temps passe, file, tel un TGV, les rides sillonnent le visage, on se transforme, la confiance en soi s’effrite à chaque rdv manqué, une peur insinueuse et vicieuse s’immisce en nous et nous déstabilise…

Mais où est passé cette séductrice, cette femme qui n’avait peur de rien, cette femme qui quand elle avait un homme en ligne de mire, elle faisait tout pour obtenir son attention ?? Qui avec quelques œillades et sourires terribles faisait craquer le plus glacial…je ne sais pas…les années ont passé…cette chose c’est fragilisée en moi…

Je sais je ne suis pas dans les standards de vie, je n’ai pas le mari, les enfants, la voiture familiale, la grosse maison, les vacances à la mer et au ski…la vie en a voulu autrement pour moi et du coup je suis en marge...mais nous sommes une belle grande bande de filles dans le même cas…avons-nous voulu être trop libre ? Avons-nous raté l’homme de vie ? Avons-nous été trop égoïstes ?

Ou tout simplement les temps ont changé, les hommes ont changé et la vie a changé !

Je ne pense pas être si différente qu’à 20 ans, je suis toujours une passionnée de l’amour, à qui les grandes envolées romantiques ne font pas peur, qui élève des milliers de papillons au fond de son estomac pour le moment X, une naïve, qui croit encore au grand amour…

Et je panique, car quand je suis deux, je me sens plus forte, plus sûre de moi…et là je suis seule dans tous ces moments de doutes, de fragilité, de terreur, en panique totale de lâcher cette foutue bouée positive…vivement demain !